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Christine Anderson : la voix qui dérange au cœur du Parlement européen : « certains de mes collègues ont trahi le peuple »
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Dans le tourbillon d'accusations et de débats tumultueux sur la gestion de la crise sanitaire, Christine Anderson, députée européenne allemande, se dresse comme une figure déterminée malgré les attaques qu'elle subi. Elle a récemment partagé ses réflexions dans une interview exclusive pour France-Soir, évoquant les coulisses de la gestion du COVID-19, le rôle des gouvernements et les révélations des « Pfizer Papers », édité par Naomi Wolf. Dans cet entretien, Anderson ne mâche pas ses mots, qualifiant certains de ses collègues de traîtres et dénonçant ce qu'elle considère comme une manipulation à grande échelle.
Un événement crucial au Parlement européen
Christine Anderson a réussi à organiser la présentation de Naomi Wolf au Parlement européen, un événement centré sur les « Pfizer Papers », une collection de documents obtenus grâce à la persévérance de l'avocat Aaron Siri. Ces papiers révèlent des informations cruciales sur les vaccins à ARNm, que, selon Anderson, Pfizer et certains gouvernements auraient voulu garder sous silence. « C'est la preuve irréfutable », déclare-t-elle, soulignant que la dangerosité des vaccins était connue dès le départ.
app.videas.frUne crise ou un mensonge ?
Selon Anderson, la crise de 2020 était un « gros mensonge ». Elle affirme que le virus, présenté comme une menace mortelle, n'était pas pire qu'une grippe saisonnière. Elle critique les mesures prises, qui selon elle étaient illogiques et motivées par des intérêts cachés. « Ils ont amplifié cette crise pour en faire un énorme problème », déclare-t-elle, accusant les gouvernements d'avoir manipulé la peur pour imposer des restrictions sévères.
Le combat de Christine Anderson
Depuis le début de la pandémie, Anderson se bat pour ce qu'elle considère être la vérité avec le rare soutien de MEP français comme Virginie Joron (malgré le fait que le RN ne semble pas prendre de positions critiques sur la gestion de la crise sanitaire). Elle a noué des liens avec des figures influentes du monde entier, dont Naomi Wolf. « Nous avons les éléments du crime », insiste-t-elle, évoquant les effets indésirables graves et les décès liés aux vaccins. Malgré ses efforts, elle se heurte à l'indifférence, voire au mépris de ses collègues. « Ils se moquent de moi », confie-t-elle, déplorant le manque de réaction face aux preuves accumulées.
Des pressions invisibles
Anderson reconnaît qu'elle n'a pas subi de pressions directes pour cesser de parler. Cependant, elle décrit un climat de honte et d'ostracisme, où ceux qui osent s'opposer au discours dominant sont ridiculisés. « Comme l'a dit Gandhi, d'abord ils vous ignorent, ensuite ils se moquent de vous, puis ils vous combattent, et alors vous savez que vous avez gagné », rappelle-t-elle avec détermination.
Les enjeux pour les pilotes et la société
L'interview aborde également des questions spécifiques, comme les risques pour les pilotes d'avion, forcés de se faire vacciner sous peine de perdre leur emploi. Anderson dénonce un cercle vicieux où les effets secondaires des vaccins menacent désormais la sécurité des vols. Elle appelle à une réévaluation sérieuse de la situation, avertissant que la confiance du public dans les institutions est en jeu.
Ursula von der Leyen et la corruption
Anderson n'hésite pas à s'en prendre à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, qu'elle accuse de corruption. Elle critique les contrats massifs de vaccins passés avec Pfizer et dénonce l'absence de transparence dans ses communications. « Elle est corrompue jusqu'à la moelle », affirme-t-elle, soulignant les profits colossaux réalisés par l'industrie pharmaceutique au détriment du bien public.
L'importance de la conscience collective
Malgré les défis, Anderson reste optimiste quant à la possibilité de changer les choses. Elle espère que la présentation de Naomi Wolf sensibilisera davantage de personnes et encouragera une action politique plus responsable appelant à une prise de conscience collective pour éviter qu'une telle situation ne se reproduise.
En conclusion, l'interview de Christine Anderson révèle un paysage politique complexe, où la vérité et la responsabilité sont souvent éclipsées par des intérêts personnels et des manipulations. Sa voix, attaquée par de nombreux ses collègues, incite à la réflexion et au débat basé sur les faits, soulignant l'importance cruciale de rester vigilant face aux enjeux de santé publique et de démocratie. Enfin sur la question des sept décès au sein de son parti en Allemagne (AfD), elle invite à la prudence étant donné qu'aucune des familles n'a sonné l'alarme.
